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Xénophilie d'adolescents avides d'arts martiaux; il s'agit des différentes disciplines qui permettent surtout d'apprendre à se contenir soi-même, maître de son propre corps, advenant quelque incident de violence que ce soit. Pour un jour espérer aspirer au titre d'une fameuse ceinture noire, dont celles-ci peuvent s'en suivre de grades dénommés « dan » (prononcé par exemple : première « danne », deuxième « danne »...), en leurs nombres selon les années d'expérience. Voici de brèves descriptions de plusieurs de ces disciplines mêmes, disponibles en leur dojo (local d'entrainement), en leurs différences ci-dessous…
Karaté, avec ou sans contact, l'un des plus populaires. Afin d'y traverser les ceintures, il faut réussir l'examen de chorégraphie du Kata, étant par cœur, tous ses mouvements bien réussis.
Bagarre dite Melee or Street Fighting, où l'on trouve l'amovible boucle de ceinture à la forme de poing-américain permettant d'éviter la fracture du boxeur (aux phalanges) typiquement délinquant.
Kung-Fu, comment battre son adversaire le plus vite possible.
Thaï Kwon Do, aux Jeux olympiques, habituellement sans contact, ainsi qu'en portant de l'équipement de protection au cas où. On y apprend que les coups s'y donnent en revenant aussi vite qu'ils sont lancés, alors que les juges marquent les points si le style, souvent en effleurant, s'applique. À la 9e dan, il faut produire abstraction de la douleur.
Kick-Boxing, tout comme la boxe, mais avec les jambes aussi. En effet, une méthode est de fatiguer son adversaire en encaissant les coups longtemps. On note souvent que les boxeurs se laissent déshydrater pour la pesée officielle.
Boxe Brésilienne, très aéronautique lorsque ceux-ci tournent les coups de pieds en rondes en l'air, probablement de comparable selon certains, aux combats de caniches, toujours à sauter afin d'esquiver les coups à cette technique en voltige.
Judo, est peu violent, permet d'y maîtriser les projections, en employant l'énergie de son adversaire pour la retourner contre lui-même, soit en le projetant en se roulant sous celui qui court déjà sur soi. Lors des chutes, on communique son énergie cinétique volontairement contre le sol, par le bras atterrissant en parallèle cognant le plancher afin d'y transmettre l'énergie. Cela permet la confiance de tomber de toutes les manières. Il s'agit aussi des immobilisations par clefs de bras ou de jambes, utiles aux gendarmes.
Cours d'autodéfense, où il s'agit d'exercer la maîtrise de la surprise du coup dans les parties, afin de vite s'évader ensuite. On y recommandait anciennement la mini bombe en aérosol à jet de poivre dans les yeux de son assaillant aveuglé.
Lutte gréco-romaine, où il s'agit d'immobilisation afin que l'adversaire abdique.
Jujitsu, étant un hybride de judo et d'autres, mais avec des coups, donc de violent.
Kendo, possiblement capable de super projections de son adversaire par l'entremise d'une perche, jusque dans les branches d'un arbre, tel que dépeint aux dessins animés.
Sumo, il s'agit, tels que les autres arts martiaux, de techniques données et de règles strictes, mais cette lutte s'adressant aux sportifs musclés, atteints de fort embonpoint.
À l'européenne se produit l'escrime, au cours de collégial, autre que la maîtrise du fleuret, on y apprend aussi d'y produire une chorégraphie en groupe afin d'abasourdir les adversaires d'une surprise surorganisée sortant de toutes parts, propre au mousquetaire.
